Mongolie – août 2016 – présentation du voyage

Voyages : Récits, Photos, Conseils, Echanges

Mongolie - vallée de l'Orkhon, chevaux dans la rivière Orkhon

 

Remonter le temps sur les traces des cavaliers de Gengis Khan. Se perdre dans les steppes infinies de l’Asie Centrale. Traverser les contreforts de l’Altaï. Découvrir le désert de Gobi au pas lent des chameaux de Bactriane…

Un projet de voyage est lancé :

Depuis la capitale Ulan Bator, nous nous dirigeons vers Karakorum à l’ouest puis cap au sud vers le Gobi près de la frontière chinoise avant de revenir en avion.

Grand comme 3 fois la France et peuplé de 3 millions d’habitants, le pays est le moins dense du monde. Près de 40% de la population vit à Ulan Bator, accentuant le sentiment de solitude dans les provinces.

Nous sommes d’autant plus surpris par la quantité de bouteilles vides, en plastique, qui brillent sous le soleil de la steppe, ou souillant les dunes. Souhaitons que ce beau pays parvienne à juguler ce fléau.

Un 4×4 russe et son excellent chauffeur, Nyamka, nous permettent d’affronter les pistes en toute quiétude.

Nous profitons des nuits sous la yourte pour jouir du spectacle du firmament étoilé.

Une journée à cheval, une balade à dos de chameau, l’emprunt des chemins forestiers, l’escalade des dunes par le vent renouvelées, nous rapprochent d’un passé où l’homme s’adaptait à la nature.

3 jours chez des éleveurs nomades

Nous retenons comme point d’orgue les 3 jours passés dans la famille Boldo, éleveurs de la vallée de l’Orkhon.

Nous approchons la diversité des territoires et touchons du bout des doigts la vie des nomades soumis à une nature et un climat exigeant.

Touguy, notre guide, nous parle de son pays, de sa culture, de son histoire, dans un français impeccable. Il nous fait rencontrer plusieurs familles, qui nous font les honneurs de l’accueil mongol.

Nous sommes touchés par l’authenticité des rencontres, leur chaleur pleine de retenue, par les lumières extraordinaires et changeantes, par la proximité du ciel, et par les paysages enivrants.

Une immersion dans le Gobi

Un océan d’herbe rase, sans limite, si ce n’est la chaine de montagne aperçue au loin comme la promesse d’un île : mais n’était-ce pas un mirage ?

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